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  • Burkina Faso / Unité - Progrès - Justice

MESRI : Le PAES met 600 plants en terre au bosquet thématique de l’Université Thomas SANKARA

Le Vice-Président de l’Université Thomas SANKANRA (UTS), le Pr Dominique KABRE représentant, le Président, a présidé la cérémonie de plantation d’arbres sur le site du bosquet thématique avec l'appui financier du Projet d’Appui à l’Enseignement Supérieur (PAES), ce vendredi 25 août à l’UTS. Il s’agit d’un reboisement compensatoire qui a permis de mettre en terre 600 plants sur le site du bosquet de l'UTS.

 

 

C’est une activité organisée par le PAES en collaboration avec l’UTS. Elle s'inscrit dans le cadre de l’aménagement d’un bosquet thématique de 5 hectares sur le site de l’UTS. Les plants sont composés d’espèces locales comme le baobab, le raisin sauvage, le néré, le zemnè, le tamarinier. L’objectif visé est de réaliser un reboisement compensatoire sur le site du bosquet de l'UTS financé par le PAES.

Le Vice-président chargé des Enseignements et des Innovations Pédagogiques (VP-EIP) de cette Université, le Pr Dominique KABRE a, dans son mot de introductif, adressé sa reconnaissance au PAES et remercié tous ceux qui ont effectué le déplacement pour reboiser ce bosquet.

Pour lui, l’environnement ne peut être sain sans arbres, et pour avoir des arbres, il ne s’agit pas seulement de planter, mais de les entretenir. Pour cela, l’appui du PAES et de tout un chacun est sollicité. «Nous souhaitons que ce bosquet grandisse dans de bonnes conditions et que d’ici quelques années, nous puissions retrouver un bosquet vert» a-t-il ajouté.

 

Selon Alexandre BADO, spécialiste chargé des sauvegardes environnementales et sociales au PAES, représentant le Coordonnateur, Mamoudou CISSE, c’est un projet qui date de depuis le début du PAES et cela rentre dans le cadre du respect des engagements en matière environnementale envers le partenaire qui est la Banque Mondiale.

Dans son plan de masse, l’UTS avait un projet de réalisation d’un bosquet ; aller donc en partenariat permettra de réaliser l’objectif des deux parties, a indiqué Alexandre BADO. Pour lui, aujourd’hui c’est une réalité et une fierté de mettre en terre 600 plants sur une superficie entièrement cloturée et dont l’entretien se fera par un système de goutte à goutte. « Quand on plante, il ne s’agit pas de planter en masse mais planter et essayer d’entretenir le peu qu’on a planté pour qu’ils puissent bien se développer et c’est pour cela qu’un château d’eau a été implanté » a-t-il précisé.

DCRP/MESRI