Il a expliqué les missions et les quatre projets d’entreprises communautaires soumis à la souscription par actionnariat populaire. Selon lui, l’APEC a pour missions, entre autres, d’accompagner la mobilisation de l’épargne populaire pour le financement des entreprises communautaires par actionnariat populaire dans les secteurs d’activités économiques stratégiques et de promouvoir la création et le développement d’entreprises communautaires dans divers secteurs d’activités. Il s’agit de l’intensification et la mécanisation agricole, de la mise en place des usines de transformation de la tomate, de la centrale d’achat et de commercialisation des produits agricoles ainsi que l’exploitation semi-mécanisée de l’or.

La deuxième communication a été faite par Harouna ZALLE, responsable commercial de la Société Coopérative avec Conseil d’Administration « Bâtir l’Avenir » (SCOOP-CA/BA).Il a expliqué aux différents responsables, les différentes procédures de souscription à l’APEC : l’adhésion à 5 000 FCFA et la part sociale minimale à 10 000FCFA avec une possibilité d’augmenter le nombre de parts pour ceux qui sont déjà inscrits à cette 1ère phase.

Pour la réussite de ce programme, il a invité tous les fils et filles du pays à s'engager et à souscrire massivement.

Des préoccupations ont été soulevées par certains participants. Il s’agit entre autres des garanties pour la pérennité et le retour sur investissement. Certains ont souhaité qu’en dehors des quatre projets de cette première phase, l’APEC puisse s’ouvrir à d’autres secteurs d’investissement.

En réponse, l’équipe de l’APEC a indiqué que le peuple est le garant de ce programme.

En ce qui concerne le retour sur investissement, Harouna ZALLE a souligné qu’en plus de la création de plus de un million ( 1000 000) d’emplois directs, chaque actionnaire va bénéficier de son dividende à partir de la troisième année de démarrage des activités.

DCRP/MESRI